Il y a eu des manifestations fortes au Brésil, le pays où « la lutte contre l’agrobusiness et la violence : pour la réforme agraire et la souveraineté alimentaire" a eu lieu.

Là, les femmes ont mise en cause le modèle imposé par les compagnies alimentaires transnationales, qu’elles ont critiqué parce qu’il ne respecte pas les droits sociaux de la population et il ne parvient pas à améliorer leurs conditions de vie.

« Nous défendons des alternatives comme l’agroécologie, agriculture paysanne de coopérative, la production d’aliments sains.

La réforme agraire continue d’être une mesure de démocratisation et importante pour mettre en œuvre ces propositions », a déclaré Marina dos Santos, membre de la coordination nationale du Mouvement des travailleurs ruraux Sans Terre du Brésil - qui fait partie de La Via Campesina - dans un communiqué publié par l’organisation.

Les manifestations de femmes paysannes inclus mobilisations à Sao Paulo, Rio do Janeiro, Parana, Ceara, Paraiba, Alagoas, Pernambuco, Minas Gerais, Tocantins, Mato Grosso et du Rio Grande do Sul.

Dans les manifestations le faible pourcentage de femmes qui ont bénéficié par les politiques publiques en milieu rural a été exposé, ainsi que le fait qu’il y a quatre millions de familles sans terre au Brésil.